Accueil News Et maintenant, l’e-VLS

Et maintenant, l’e-VLS

JCDecaux est très connu mondialement pour ses espaces publicitaires et mobilier urbain, un peu moins pour la location de vélo en libre service – Entre autre, car les marques crées (Vélib’, à Paris, Vélo’v à Lyon…), passent devant son propre nom dans l’esprit du public – dont il est le numéro un mondial également : 52 000 vélos en libre-service, 4 700 stations implantées dans 70 villes de 13 pays dans le monde.

Avec l’e-VLS (pour Vélo Libre Service), JCDecaux déploie un service inédit de location de vélos à assistance électrique : la batterie portative ne reste pas sur le vélo mais y est fixée, retirée et emportée par l’utilisateur. Le problème du vol, n’en est plus un ! 10 kilomètres d’autonomie sont annoncées par la société « soit quatre fois la distance moyenne parcourue en vélo en libre-service ». Jean-Charles Decaux, Codirecteur Général de JCDecaux, a déclaré : …« Prolongement naturel de nos vélos en libre-service, le e-VLS, conçu par JCDecaux, s’appuie sur un ensemble de solutions technologiques représentant une seconde révolution de la mobilité. ». (Whaou, rien que ça !). Et de poursuivre : « le e-VLS, d’ores et déjà opérationnel, répond de manière durable aux besoins des collectivités locales, encourage les déplacements économes en émission carbone et induit un véritable changement des pratiques en milieu urbain. ». Le e-VLS a nécessité trois années de recherche et développement pour transformer un système complexe en une solution simple et performante bénéficiant de nombreuses innovations ayant fait l’objet de brevets : une batterie légère et amovible, une signalisation automatique en cas d’oubli de la batterie sur le vélo, et une connectivité avec le smartphone de l’utilisateur via une application dédiée.

À City Ride, nous apprécions toutes les initiatives qui tendent à favoriser l’usage du vélo en ville, et nous sommes plus habitués à ce que les innovations viennent de startup. Comme quoi, on peut être numéro un et investir intelligemment en recherche et développement, même si le côté mercantile n’est pas bien loin…

Plus d’infos ici